1. |
Avril
03:15
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Dans ma chambre le soir
Je repasse mes souvenirs en photos
Où les hivers se croisent
M’ont laissé des kilos sur le dos
J’ai souvent laissé faire le temps, mais rien ne changeait
À grands pas de poussières je cherchais un endroit où aller
Avril lorsque l’hiver s’éloigne
Souvenirs qui jamais ne s’effacent
Avril, une lettre, un regard
À 20 ans déjà
Je trainais ce si triste fardeau
Avancer sans phares
S’endurcir l’écorce la peau
À trop me laisser faire
J’ai souvent pris la contre-allée
Et ces pas de poussières me trainent depuis ses années
Avril lorsque l’hiver s’égard
Souvenirs qui jamais ne s’effacent
Avril une lettre, un regard
Dans ma chambre le soir
Je repasse mes souvenirs en photos
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2. |
Nos moments passés
03:13
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J’aime me voir écumer
Comme la beauté des vagues
Photographie sauvage
De ces moments passés
L’été lointain fuyait
Les souvenirs de plages
Peau brûlée puis l’orage
Le matin s’en allait
À nos moments passés
Nos moments passaient
Je surfais sur cette vague
Les poissons se rappellent
Bien trop loin du rivage
Et bien trop loin des peines
Lors des hivers maussades
Que la côte me manquait
Je rêvais s’en arrêt
À cette odeur de sable
À nos moments passés
Nos moments passaient
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3. |
Livre ouvert
03:04
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Passe à travers
La beauté de l’hiver
Les souvenirs des bords de mer
J’étais si fier
Dans cette maison de lierre
Ma vie comme un livre ouvert
La veille d’être homme
La brume semblait peser des tonnes
Refaire mon film, mon passé
Des tristesses surannées
Refaire mon film, mon passé
Des tristesses surannées
La ville je l’ai quitté
Dans ce bateau préfabriqué
Sans personne à mes côtés
J’étais si fier
Dans ce manteau d’hiver
Ma vie comme un livre ouvert
La veille d’être homme
La brume semblait peser des tonnes
Refaire mon film, mon passé
Des tristesses surannées
Refaire mon film, mon passé
Des tristesses surannées
Passe à travers
La beauté de l’hiver
Ma vie comme un livre ouvert
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4. |
Les vagues
02:56
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Je fuis les au revoir
Les images du passé
À retenir le soir
Sans pouvoir me guider
Que les vagues me rappellent
Que mes os s’en souviennent
Que les vagues me rappellent
Que mes os s’en souviennent
Raconter des histoires
Sur la mer me plaît
J’écris pour y croire
Et refaire mon passé
Que les vagues me rappellent
Que mes os s’en souviennent
Que les vagues me rappellent
Que mes os s’en souviennent
À surfer sur cette vague
Comme la vie m’effraie
Toutes ces blessures me marquent
À jamais tatoué
Que les vagues me rappellent
Que mes os s’en souviennent
Que les vagues me rappellent
Que mes os s’en souviennent
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5. |
Anorak vert
02:14
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Dans mon anorak vert
Je laisse couler les perles
De mes yeux gris-verts
Et les regarder faire
J’écoutais la mer
Me chanter des airs
Ses louanges et prières
Allongé par terre
Cette pluie sereine
Pour laver ma peine
L’immensité me freine
Pour avance je peine
Dans mon anorak vert
Je laisse couler les perles
De mes yeux gris-verts
Et les regarder faire
S’envoler dans les airs
Pour ne plus toucher terre
Cette cime me perd
Vogueur à ciel ouvert
Dans mon anorak vert
Je laisse couler les perles
De mes yeux gris-verts
Et les regarder faire
Dans mon anorak vert
Je laisse couler les perles
De mes yeux gris-verts
Et les regarder faire
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Cipierre Paris, France
La musique de Cipierre est à son image : calme et minimaliste.
À 26 ans le Parisien retranscrit avec simplicité, des ballades faits main, selon la tradition singer/ songwriter. Une chanson folk racée, boisée aux textes contemplatifs.
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